Comme les 5 autres patients considérés comme guéris du VIH celui que l’on désigne comme le patient de Genève a eu une greffe de moelle osseuse.
Pourtant à la différence des cinq autres patients la moelle osseuse qu’il a reçu n’avait aucune particularité génétique favorisant cette guérison.
Aussi beaucoup d’espoir est né autour de cette « longue rémission ». Les chercheurs émettent plusieurs hypothèses. Deux phénomènes explicatifs sont avancés ou la greffe a permis d’éliminer toutes les cellules infectées sans introduction de la fameuse mutation ou le traitement immunosuppresseur, post greffe, a joué un rôle.
En tout état de cause ce sont des espoirs et des pistes supplémentaires qui mènent vers la voie de l’éradication du VIH.